Witte Maria Weber
Sopran
Kanonsingen in der Berner Altstadt
Sporadische Termine, bei Interesse bitte via Kontaktformular nachfragen.
Dauer ca. 1 Stunde, Beitrag CHF 20
Ich freue mich auf euch!
Witte Maria Weber – Sopran
Witte Maria Weber stammt aus einer Musikerfamilie aus Bern. Sie studierte an der Musikakademie Basel (Schola Cantorum Basiliensis) Gesang mit Spezialisierung in den Bereichen Mittelalter und Renaissance, danach klassischen Gesang am Konservatorium Neuchâtel. Sie ist seit vielen Jahren als Solistin und als Mitglied mehrerer Alte Musik Ensembles im In- und Ausland im Rahmen von Konzertreihen und Festivals tätig.
Es bestehen zahlreiche Rundfunkaufnahmen und CD-Einspielungen, z.B. bei K617, Symphonia, Ricercar, Sony und Harmonia mundi: Donna s’amor m’invita, Codex Reina, Le Champion des Dames, Mil suspiros diò Maria mit dem Ensemble Continens Paradisi (CH); Les Trois Maries mit dem Ensemble Gilles Binchois (FR); 40 voices, Jacob Clement, Claude Le Jeune, Das Ohr der Hugenotten u.a. mit dem Huelgas Ensemble (BE); Carmina Helvetica, Carmina de Morte mit dem Ensemble Labyrinthus (RU); Licht des Ostens mit dem Frauentrio Stella Maris (CH); Fro bin ich dein mit dem Renaissance-Ensemble Canti B (CH).
Witte Maria Weber lebt Bern.
“UNE SOPRANO FASCINANTE – Witte Weber réside à Bâle oú elle a été élève de la Schola Cantorum, avant d’embrasser une féconde carrière internationale. Profondément expressive, la gracieuse artiste présente en ouverture, seule, “Crux fidelis”, un hymne grégorien du VIe siècle de Venantius Fortunatus. Puis, accompagnée par les musiciens, elle offrira tout au long des “Lamentations” la pureté et l’ampleur d’une tessiture exceptionnelle. …”
Presse Riviera, 3 avril 2002
“...Des pièces qui chantent l'amour avec d'infinies nuances. Un mélange savoureux de situations sérieuses, facétieuses, drôles, tristes, mélancoliques ou joyeuses....Voilà l'occasion pour le jeune ensemble de construire un programme aux innombrables couleurs. Et les musiciens de Continens Paradisi s'en donnent à coeur joie, jouant à fond la carte de la liberté et de la improvisation. Witte Weber domine ce récital d'une voix superbe...les musiciens répondent au chant d'une fluidité extrême dans un improvisation dont les couleurs semblent se renouveler à chaque écoute...”
François Camper, magazine "Répertoire" juillet 1998
“La splendide voix de Witte Weber émaille un récital dont les points culminantes sont deux ballatas de Ciconia.... Les musiciens établissent un subtil jeu de rythmes et des timbres dans les pièces instrumentales....Par la poésie qui se dégage de cet enregistrement, et la crédibilité de reconstitutions instrumentales à l'évidence soigneusement étudiées sous leur parfum de liberté, ils sont très convaincants.”
Sophie Roughol, magazine de la musique classique "Répertoire" octobre 1997